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Mise à jour d’un site internet : bonnes pratiques

Votre entreprise possède son site internet ? Évidemment vous me direz ! Avez-vous effectué les mises à jour ? Pas sûr… De plus, vous avez l’impression de ne pas y avoir beaucoup de visites, et qu’on ne vous trouve pas sur Google ? 👀Mais faites-vous vivre votre site internet ? Je fais le point dans cet article pour vous aider à mieux comprendre la structure d’un site internet et les quelques règles de base à suivre quand celui-ci est peu utilisé. Actualiser son site internet : faites les mises à jour Avant toute chose, je souhaite revenir sur un point clef dans la survie de votre site internet : les mises à jour. Je vois encore trop souvent de sites internet avec de multiples alertes de mise à jour empêchant justement de modifier le site. De quoi se compose votre site internet Prenons l’exemple d’un site WordPress. WordPress c’est un CMS (au même titre que Prestashop, Magento…). Plus grossièrement, il s’agit du logiciel qui a permis de créer votre site. Ce logiciel disponible de base gratuitement en ligne, connaît des mises à jour régulières de ses créateurs pour toujours améliorer les performances et l’utilisation des sites. A cela vient s’ajouter un thème : le squelette de votre site, un modèle de départ (plutôt que de partir d’une feuille blanche). Pareil, les thèmes subissent régulièrement des mises à jour. Enfin, des modules (ou plugin) s’additionnent à cette structure : des fonctionnalités supplémentaires (Yoast pour travailler son référencement, Elementor pour la mise en page…). Les modules sont très régulièrement mis à jour. Que se passe-t-il si les mises à jour ne sont pas faites ? Et bien vous risquez de perdre des fonctionnalités, de ne plus pouvoir modifier une partie de votre site ou encore de ne plus pouvoir installer un module… 👎🏻 D’autre part, les mises à jour ne sont pas à prendre à la légère, et mieux vaut se renseigner avant de les installer. Renseignez-vous notamment sur le blog officiel WordPress. Vérifiez que la mise à jour du thème est compatible avec tel module. Pour ma part, je prends en charge les mises à jour de mes clients ou délègue à un développeur de confiance lorsque j’observe une structure trop complexe. Avant toute mise à jour, veillez à faire une sauvegarde. Pour cela, mieux vaut travailler avec un hébergeur de confiance qui sera réactif et joignable facilement. Une pratique fréquente chez les développeurs, consiste également à travailler sur une staging version de votre site, soit une version test. Cela permet de connaître l’impact des mises à jour, sur une fausse copie de votre site. Je trouve qu’il est important de sensibiliser les entreprises de toute taille à ces problématiques de mises à jour. Mais je comprends bien que le sujet n’est vraiment pas familier des petites entreprises. C’est pourquoi je leur propose mes services pour une gestion en confiance. Dynamisez votre site internet Avoir un site internet c’est bien, le faire vivre c’est mieux ! Si vous voulez que l’on vous trouve et être correctement référencé par Google votre site ne doit rester statique. En effet, Google n’apprécie pas les sites sur lesquels il ne se passe rien et les détecte très bien. Pour un site marchand, mettre en ligne de nouveaux produits à la vente vous assure une certaine activité. En revanche pour un site vitrine (présentation d’une entreprise en une ou plusieurs page), je vous conseille d’intégrer une partie Blog ou Actualités. En effet, pour assurer un minimum de mouvement sur votre site internet d’entreprise, prenez la parole sur vos thématiques en rédigeant des articles. Ces articles constitueront également une nouvelle porte d’entrée sur votre site, et donc un moyen supplémentaire de vous trouver. Attention toutefois, si vous vous lancez dans une rubrique Blog ou Actualités veillez à être régulier dans votre rythme de rédaction. Car l’absence de publication depuis des mois renverra une forte image négative et pas sérieuse du tout ! 🙅🏼Je rédige et programme les articles de blog de mes clients à l’avance afin de tenir le rythme d’une publication par semaine. Enfin, intégrer un widget de réseaux sociaux, donnant un aperçu de votre fil d’actualité (feed) donnera aussi une impression plus dynamique aux visiteurs (mais pas à Google). Pensez également à mettre à jour le Copyright en bas de votre site. Il s’agit de la mention du créateur du site internet (« réalisé par + l’année d’édition »). Je vous conseille d’indiquer la date de la dernière mise à jour. Ainsi, à chaque passage de nouvelle année, veillez à faire ce changement. Un Copyright pas à jour renvoie  une image non sérieuse aux visiteurs. Faites le tri sur votre site internet Votre site internet existe depuis un petit moment ? Pensez à archiver certains contenus. En effet, notamment pour les parties Blog, des pages peuvent ne plus être consultées et ne plus avoir de visites. Rien de dérangeant vous me direz, mais cela envoie un mauvais signal à Google. Ainsi, vous aurez le choix de remettre à jour cette partie en actualisant les informations. Ou bien de supprimer la page si celle-ci a plus de 6 mois. Faites également le point sur l’ensemble des liens. Pour cela, surveillez votre Search Console, et supprimez les liens morts (ou mettez les à jour). Enfin, vous pouvez également utiliser un plugin WordPress, comme par exemple Broken Link Checker. Mais il faudra penser à le mettre à jour 😉 En plus de créer des sites internet sous WordPress, je propose mes services pour leur mise à jour, rédaction de contenu, conseils référencement… N’hésitez pas à me demander mon avis sur votre site internet, il est toujours gratuit !

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Arrêtez de perdre votre argent en publicité Facebook !

Incontournable dans le développement d’une entreprise, la publicité sur les réseaux sociaux permet de toucher efficacement clients et prospects. Pourtant, bien des entreprises n’optimisent pas leur publicité Facebook. Et même pire, elles y perdent de l’argent ! 💸Petit tour des bonnes pratiques en matière de pub Facebook et surtout de non-boost. Avant de vous lancer dans la pub, travaillez votre page de destination Selon l’objectif de votre campagne de publicité Facebook, vous renverrez l’internaute vers une page internet, une fiche produit, une publication sur les réseaux sociaux, une vidéo ou encore votre page Facebook. Trop d’entreprises ne prennent pas le temps de travailler correctement cette page de destination. Ainsi, d’un point de vue marketing, vous devez vous assurer qu’envoyer l’internaute sur ce media engendrera des conversions (accomplissant votre objectif). Mettez-vous à la place du visiteur. Que recherche-t-il ? Quel problème doit-il résoudre ? Comment lui expliquer clairement que vous lui apportez la solution, LÀ sous son nez ?Prenons un exemple. Vous disposez d’un site de vente en ligne de confitures. Votre page Facebook est bien alimentée. Vous y publiez régulièrement des recettes à base de confitures. Et une communauté assez importante vous y suit et réagit. Aujourd’hui, votre objectif est de vendre plus. Vous mettez en place un code promo afin de dynamiser les ventes. –> Le lien de votre publicité Facebook renverra vers des fiches produits ou bien la catégorie « promotions » de votre site. Attention donc, à ce que le code promo soit suffisamment mis en avant sur les fiches produits et que son utilisation soit assez claire. Vous devez inciter, pousser le visiteur à passer à l’action. Ne lésinez pas sur les phrases d’accroches aussi bien sur la fiche produit que dans le panier ! Le boost des publications : ne cédez pas ! Quand vous créez une page Facebook, vous comprenez vite que le marketing de l’entreprise Facebook est bien rodé. En effet, Facebook n’aura de cesse de vous pousser à dépenser votre argent afin de promouvoir votre page. « Vous pourriez toucher 8000 personnes », « vous auriez pu avoir 1 millions de mention j’aime supplémentaires », « votre publication pourrait être vue par le Président de la République »… Blague à part, vous allez vite faire connaissance avec le bouton BOOST en bas de vos publications. Facile et tentant de cliquer sur BOOSTER mais pas du tout optimal en termes de stratégie publicitaire. C’est en fait une réelle perte d’argent pour votre entreprise car vous passez à côté d’options plus précises. Je vous conseille donc, comme pour mes clients, de créer un compte Business Manager afin de lancer de véritables publicités Facebook. Premièrement, le boost Facebook vous propose d’attirer les internautes sur votre site, sur votre page Facebook ou bien de les inciter à discuter avec vous. Par contre, si vous décidez de créer une publicité via le Business Manager, vous aurez un plus large choix d’objectifs. On voit donc sur cette capture, l’ensemble des objectifs disponibles. Grosse différence ! Et notamment, l’augmentation des conversions, soit faire plus de ventes en ligne (indispensable pour un site marchand). Ce qui m’amène au point suivant. Pour une publicité Facebook efficace, vous devez définir vos objectifs de campagne avant de vous lancer. J’accompagne toujours mes clients à se forger une vision marketing claire. Sans stratégie, pas de résultats durables ! Attention à bien soigner le visuel de votre publicité. Je vous conseille d’en créer un sur-mesure et de ne pas vous contenter de reprendre celui d’une publication. Facebook met à disposition les formats de référence qui peuvent être revus d’une année à l’autre. Soyez précis dans le choix de votre audience de publicité Facebook Vous devez désormais définir l’audience de votre publicité, tout simplement quels profils de personnes la verront. Avec le boost, vous pouvez seulement choisir une audience existante ou bien en créer une. Malheureusement, vous n’aurez accès qu’à une audience sauvegardée. Il en reste deux autres types : L’audience similaire consiste en une audience ressemblant à celle déjà existante : ciblez des personnes de même profil que ceux aimant votre page ou site internet, par exemple. Très utile pour prospecter. Si votre audience actuelle se constitue déjà de votre coeur de cible marketing, vous allez pouvoir atteindre d’autres personnes au profil similaire. L’audience personnalisée se compose de personnes qui vous connaissent déjà : abonnés Facebook ou Instagram, visiteurs de votre site, abonnés à votre newsletter. Facebook les définit comme « Une audience personnalisée générée à partir d’une liste de clients est un type d’audience que vous créez pour vous aider à définir votre ciblage ».  Ainsi, comme pour toute campagne de communication, il faut absolument définir votre objectif marketing derrière votre publicité. Vous ne choisirez pas toujours la même audience : vous n’allez pas choisir une audience personnalisée qui vous connait déjà alors que votre objectif est d’obtenir plus de visites sur votre site. Le Pixel Facebook : ciblez les visiteurs de votre site Pour les « Serial Booster », le Pixel Facebook ne signifie rien. Et pourtant, il permet de recueillir les données relatives aux visites de votre site internet. Vos publicités pourront alors cibler une audience du même type que les visiteurs de votre site. Vous pourrez également exclure les personnes ayant déjà visité votre site de votre audience publicitaire. Si on reprend par exemple l’objectif de faire plus de visites, on pourra alors préciser « plus de nouveaux visiteurs ». On se rend donc bien compte de l’utilité du Pixel ! Mais concrètement, c’est quoi le Pixel Facebook ? Il s’agit d’un code à intégrer directement dans le code source de votre site internet. Cela vous effraye ? Je me charge de cette manipulation pour vous. Mieux vaut installer le Pixel Facebook au plus tôt pour se constituer une audience plus précise. Enfin, la création d’une publicité via le Business Manager vous offrira également plus de choix quant à l’emplacement de votre publicité Facebook. En effet, celle-ci peut apparaître dans le fil d’actualité des utilisateurs, mais également sur la barre latérale (à droite) ou encore en story. Ainsi, si vous souhaitez vous lancer dans la publicité Facebook, prenez donc le temps de vous poser les

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Communication efficace : comment mesurer le retour sur investissement (ROI)

Dans l’article précédent, je vous donnais les bases pour établir votre budget communication. Mais pour savoir si celui-ci est suffisant et s’il est efficacement réparti, il est nécessaire de connaitre votre retour sur investissement. Mesurer le ROI de votre communication vous guidera dans votre stratégie et votre développement. Reprenons pour cela, les différents postes de dépenses constituant votre budget communication. Le ROI de la communication offline Plus difficile à traquer et moins palpable, la performance de votre communication en dehors du web doit pourtant être analysée. Néanmoins, point commun, vous devez vous être fixé dans un premier temps des objectifs à atteindre. Le ROI de votre identité de marque et communication print Vaste sujet, l’identité de marque et la communication papier qui en découle comprend de multiples supports. Le seul moyen d’obtenir des réponses quant à leur efficacité est de répertorier les réactions qu’elles engendrent. Des prospects qui vous reconnaissent rapidement grâce à votre logo, les valeurs de votre entreprise sont ancrées dans les esprits ? Alors vous semblez y avoir travaillé dans le bon sens. On vous a déjà contacté au moyen d’un flyer, d’une plaquette, on se souvient d’une affiche… Pensez à récolter toutes ces interactions au moyen d’un document partagé ou collaboratif de type Drive. A cet effet, les formulaires Google Form sont faciles d’utilisation pour les commerciaux notamment sur mobile. 📲 Ainsi, il vous sera plus facile de faire le point sur votre stratégie de communication de manière éclairée au moment venu. Le ROI des événements Portes-ouvertes, salon professionnel, ouverture de magasin… L’événementiel, poste budgétaire important, doit également donner lieu à une analyse des retombées. Pour cela, il est nécessaire de s’y préparer en amont. Vous pouvez par exemple, créer des coupons de réduction à rapporter en magasin ou à utiliser en ligne. Grâce au code promo spécifique à l’événement, vous saurez quelles sont les ventes liés à celui-ci. Le retour sur investissement d’un événement se mesure également au nombre de contacts qualifiés qu’il a engendrés. Préparez donc bien des listings à remplir le jour-j sur lesquels indiquer les coordonnées de la personne et surtout ses intérêts. Pour les évènements d’une certaine envergure, vous pouvez également créer et diffuser un hashtag pour ensuite suivre le nombre de mentions engendrées. Là encore, équipez-vous d’un outil statistique des réseaux sociaux. Web : le ROI de votre communication digitale La communication digitale simplifie la mesure du ROI, puisqu’elle donne l’accès à de nombreuses données statistiques relatives à l’audience. Le ROI d’un site internet Pour un site internet de vente en ligne, le ROI est assez facile à mesurer. En effet, il suffit de se référer aux ventes engendrées. C’est une question primordiale lorsque vous décidez d’investir en SEA (référencement payan). Vous devez être en mesure de tirer les conclusions de vos achats publicitaires. Par exemple, vous misez autant sur des annonces Google Shopping, cet argent a-t-il engendré plus de vente sur ce produit ?Autre mesure : le blog. Vous prenez la décision d’investir du temps dans la rédaction d’un blog car celui-ci est bénéfique pour votre référencement (SEO). Très bonne idée ! Mais votre audience lit-elle bien vos articles et ces derniers lui plaisent-ils ? Vous trouverez les réponses à toutes vos questions dans Google Analytics. Pour un blog, on s’intéresse au temps passé sur une page. Vous pourrez enfin savoir quels articles ont le plus été lus et de ce fait, quels sujets plaisent à votre audience. Inspectez également le nombre de clics sur vos liens. Vous investissez dans la publicité en ligne ou en référencement payant (SEA) ? Pensez à activer le suivi des conversions dans Google Analytics ! Sinon vous ne serez pas en mesure de savoir si les clics sur vos publicités ont engendré des ventes et incapable de connaitre votre retour sur investissement. Le ROI des Réseaux sociaux Votre présence sur les réseaux sociaux vous amène-t-elle de nouveaux clients ? Là encore, les entreprises investissent beaucoup de temps et d’argent sur ces plateformes en attendant toujours plus de résultats. Il reste délicat d’en mesurer l’efficacité. Néanmoins, outre le taux de clics, le taux d’engagement vous en dit plus sur la qualité de vos publications. En effet, il vous aide à déterminer si votre audience apprécie votre contenu. Si tel est le cas, elle le fait savoir, le partage et vous touchez ainsi encore plus de personnes. Pour cela, il faut prendre en compte le nombre de likes, de commentaires et d’actions engendrées (partages, enregistrements…). Les outils de programmation des réseaux sociaux vous donne ces statistiques qu’il est nécessaire d’analyser (Buffer, Planoly, Later…). Le ROI des Emailing et Newsletter Vous avez pris le soin de vous constituer une liste d’abonnés (liste de diffusion) et d’envoyer de manière régulière des emailing à celle-ci. Parfait ! 📩Mais vos envois ont-ils bien un impact sur les destinataires ? Encore une fois, les statistiques vous répondront. Celles-ci sont fournies par les logiciels et solutions d’emailing. Mailchimp, Sarbacane, Sending Blue… En plus du taux d’ouverture, tous vous fourniront le taux de clics qui permet de savoir quels sujets suscitent un réel intérêt. En 2019, le taux d’ouverture moyen était de 22,8% et le taux de clic moyen de 3,5% à travers le monde. A savoir que les campagnes B2B obtiennent de moins bons résultats que le B2C (source). Pensez également à surveiller le nombre de désabonnements ! Google Analytics, solution d’Emailing, Google Drive… J’accompagne mes clients dans le mise en place de tous ces outils boostant le développement de l’entreprise. Je rédige alors des rapports afin de déterminer leur retour sur investissement. 😉